(Dans la cour) Réunion d'information

Le decors etait planté, dans la cour, au bas de la tour, tout le personel etait reunis sur une petite estrade prevue a cet effet.
Le president etait debout devant un micro et face a deux rangés de petites chaises destinées apparement a recevoir les eleves qui arriveraient d'un instant a l'autre.
A sa gauche les cinq gardiens, a sa droite les quatre professeurs.
Un peu plus loin, Le Concierge attendait.
Ils adoptaient tous des attitudes differentes, semblant soit heureux d'etre ici, soit pressé de repartir vaquer a leurs occupations.

Cantona etait deja assis, sur l'une des chaise du premier rang, il attendait que les autres eleves arrivent.
Il etait assez impatient de pouvoir les voir tous, nombreux etaient les nouveaux qu'il n'avait jamais pu encore croiser.
Il devrait sans doute plus tard se presenter a eux.... En tant que Yokozuna et plus ancien en ce lieu, Comme ca, tous ces petits jeunes le respecteraient et seraient impressionner par sa grandeeeur!

Machi descendit les escaliers a toute vitesse, suivant Sabina de près, pourtant, elle n'etait pas si pressé que ca de savoir ce que leur voulait ces fous.
Elle arriva dans le hall et le traversa presque en courant.

"C'est quand même mieux que de rester enfermer dans sa chambre" Pensa t-elle, ne s'imaginant même pas passer toute ses journées enfermée a s'ennuiyer mortellement.

Elle sortit enfin, dehors, le ciel etait radieux. la cour n'etait pas très grande mais pas si petite que ca.
Le sol etait fait de terre seche avec quelques brins d'herbes dispersés ca et la.

Lorsqu'elle arriva pres du groupe qui s'etait formé autour d'un grand homme noir, elle ralentis l'allure, sentant l'angoisse la piquer legerement.
Elle avisa les quelques chaises certainement mise a leur disposition et remarqua un grand homme barbu assis sur l'une d'entre elle.
"Tiens? C'est qui ce mec?" Se demanda t-elle interieurement. "Apparemment ni un gardien, ni un toubib..."

Sabina remarqua les scientifiques sur l'estrade et frissonna en reconnaissant celui qui l'avait embarquée ces quelques jours.
Elle aggripa la manche de Machi, pas très rassurée, et la tira jusqu'à deux chaises pour qu'elles s'assoient à côté.

'Ils font vraiment peur, les adultes, ici... Entre les docteurs fous et les gardiens bizarres...' pensa-t-elle.

Elle regarda l'homme qui semblait important, au milieu de l'estrade, et attendit qu'il parle, vaguement inquiète.

Juby arriva enfin à l'endroit voulu, un peu essoufflée à force de courire partout.
Elle regarda autour d'elle pour voir beaucoup de visage inconnu, elle ne reconnaissait pas grand monde.

*Qu'est ce qui se passe ici?*

Tout en continuant de regarder autour d'elle, elle alla choisir une chaise au hazard et s'y assit en attendant.

Gabriel arriva peu après Uriel et regarda tous les individus placés sur l'estrade. Il reconnut vite fait Steevy et mamie, quand aux autres.. beuh..

Il prit alors place sur la chaise la plus proche de lui, et s'y affala mollement, style état larvaire. Il sentait qu'ils allaient s'ennuyer ferme, et c'était bien dommage.

Le docteur Bénédicte s'etait fait une beauté pour l'occasion. elle avait soigneuseument peigné ses fins cheveux roux, elle s'etait maquillé avec finesse (hum.. kof kof kof eurg << l'auteur s'ettouffe) et avait enfillée sa plus jolie robe, un tantinet aguicheuse selon ses propres mots.

Elle regarda les pensionnaires arrivé petit a petit et un sourire gracile se dessina sur ses lèvres pulpeuses
- Hooo mais quel charmant charmant garcon Gloussa t-elle en remarquant Gabriel s'avachire sur une des chaises.

"Rho ce petit coté Anarchiste..." Continua t-elle, mais cette fois ci en pensées, posant une de ses delicates main sur sa joue rosie par l'emotion.

Elle avait egalement remarqué Cantona, qu'elle avait deja eu l'occasion d'observer (hurg) mais il etait bien trop vieu pour elle d'apres ses dires.
"Domage, j'ai toujours eu un petit faible pour les phouteboleurs hermite..."

Un homme mystérieux (ou pas) entra, portant un lourd sac sur ses épaules, ses gants tout aussi noirs déplacèrent le dit-sac (noir aussi) sur le sol sans douceur.
Les personnes présentes dans la cour purent entendre un "AÏÏÏÏÏÏE!" distinct.
L'homme du côté obscur de la force dénoua la corde (noire) qui retenait le contenu de sa sombre hotte, puis s'éloigna à pas rapide, suivie de son ombre funèbre...

Et là...

Une tête noâre (non, en fait, non) blonde sortit timidement de sa cage d'étoffe, la blancheur de sa peau contrastant de manière phénoménale avec la couleur du tissu.
Il regarda, les yeux écarquillés tous les convives de ce lieu, n'osant ni ne sachant, s'il devait ou non sortir de sa vague protection ébène.

Ses grands yeux bleus affolés dévisagèrent la troupe.

Juby avait sursautée et en était presque tombé de sa chaise en entendant le cri, elle regarda autour d'elle et vit qu'un jeune homme avait été sortit d'un sac tel une poupée.

*Mais c'est quoi ce délire?!*

Elle resta longuement silencieuse mais décida de se diriger prudemment vers cette personne laissé là qui ne semblait pas rassurée du tout.

"Ca va ? Vous n'avez rien?"

Quand elle arriva à sa hauteur, elle lui tendit une main pour l'aidé à se relever, elle tremblait légèrement mais se voulait secourante.
Elle plongea ses yeux vert dans les yeux bleus effrayé, elle fit un sourire chaleureux pour tanter de lui montrer qu'elle ne voulait aucun mal.

Mike Le Concierge approcha sa grosse masse de corp et bouscula Newgaliban sans aucune douceur. Il attrapa le sac d'ou depassé la tête du nouveau venu et le renversa, ce qui evidemment fit plonger le pauvre nouveau la tête la premiere sur le sol.
Surpris, Le Concierge, regarda de plus pres ce qu'il avait trouvé la, jetant le sac un peu plus loin.
Il attrapa le bras du garcon et le souleva, le remettant sur ses jambes.
- euh... Pas mal?

Il lui ebourriffa les cheveux, restant devant lui en prennant air ahurie.
le grand homme se retourna ensuite vers la jeune fille qu'il avait poussé et lui fit un sourire qui se voulait sympathique.

Mikael fit alors son apparition. Il reniflait bruyament et semblait sur le point de pleurer. Son pantalon etait dechiré au niveau du genou gauche et il saignait un peu. Cette blessure le faisait legerement boiter.
Il passa a coté du sac et de la jeune fille, du concierge et des chaises qui le separer de son but sans meme les regarder et se jeta dans les bras de Machi en pleurant.

- Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiin, je suis tombééééééééééééé!!!!!!!!!!!

- Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiin, je suis tombééééééééééééé!!!!!!!!!!!

Le jeune garcon blond pleurait a present dans ses bras et Machi ne savait decidemment pas quoi faire. Se sentant de plus en plus mal a l'aise elle regarda autour d'elle cherchant une quelconque aide a son probleme actuel; soit, un p'tit gamin en larme et se mouchant alegrement dans ses vetements.

Bon ok, Machi n'etais peut etre pas si insensible que ca apres tout, c'etait une fille, et qu'est ce qu'il y avait de plus attendrissant qu'une charmante petite tête blonde reclamant un calin?
"Beaucoup de chose..." Pensa Machi avec force, reniant tout sentiment de gentillesse a l'egars du gamin.

Malgrès tout elle se releva et tenta vainement de rassurer Mikael.
- hé ho, euuh.. pleurs pas hein? hé... c'est... c'est pas grave! euh...

Ne voyant aucune autre solution apparaitre a son esprit, elle soupira et leva les yeux au ciel, puis elle retira la candy canne qu'elle avait toujours entre les levres et la lui tendis.
- Tu veux que je te prete un bonbon?


(Et oui, Machi prete des bonbons vous avez bien lu...)

Newgaliban se fit violemment bousculé qu'ell se retrouva par terre, mais elle plaingait le jeune homme blond qui lui n'avait ps beaucoup de chance, il avait été renversé la tête la première.
A sa place elle serait surement tout aussi désorientée.

*Hey! mais c'est qui ce géant pour baloter quelqu'un comme ça?!*

Quand celui ci lui fit un sourire, elle luilança un regard noir.
Elle s'approcha du jeune homme blond mais cette fois ci sans lui tendre la main, elle resta juste à coté de lui sans bouger plus voyant que ce ne devait pas être une bonne idée de s'approcher et de lui faire encoe plus peur mais elle lui adressa tout de même la parole.

"Vous n'avez rien?"

Ca lui semblait être une question stupide, car cela ce voyait très bien que ça n'allait pas, mais elle ne savait pas quoi dire d'autre.

"Calmez vous, je sais que vous avez peur mais on ne veux rien vous faire. Et 'aimerais comprendre moi aussi ce qui se passe..."

Mikael se releva regardant Machi de ses yeux pleins de larmes.

- C'est vrai, tu me le preterais?

Il sortit son paquet de chewing gum de sa poche et lui en tendit un

- Dans ce cas, je te donne un chewing gum!

Si ses yeux n'etaient pas restés rouges, on aurait pu croire qu'il n'avait jamais pleuré. Il souriait et semblait particulierement heureux desormais.

Le sourire de Machi se figea un instant, elle avait la forte impression de faire rouler dans la farine.
- Ouaiis... chteuh le prete... Fit elle d'une voie lente et calculatrice, toujours son sourire fiché sur son visage.

Elle attendis un instant, fixant intensement Mikael, comme pour sonder son esprit.
Elle attrapa rapidement le chewing gum et le mis dans sa poche avant d'ajouter tout aussi fulguramment et dans un elan d'extreme maturité:
- Mais pas pour longtemp!!!!!

Elle donna plutot brutalement la candy canne au petit garcon, lui posant dans la main, le forçant presque a la prendre.
"Pff j'suis trop gentille moi... Ca me perdra ce genre de bon sentiment..." Songea t-elle en soupirant.

Mikael mis sa nouvelle candy canne dans sa bouche et ferma les yeux de plaisir (ce qui fit qu'on voyait la candy canne floter la ou aurait du etre son visage)

- MmM.... C'est booooon...

Mister Mistofolis s'avança enfin vers son micro et tapa quelques fois dessus, faisant assez de bruit pour attirer l'attention rapidement.

"J'apprécierai que toutes les personnes présentes s'assoient et se calme! Un peu de silence!"

Il attendit un instant que tout le monde ait obtempéré, puis il continua.

"Bien. Mon nom est Mister Mistofolis, et c'est moi qui dirige cette tour. Vous êtes nombreux à être arrivés récemment, et ce rassemblement a pour but de vous expliquer votre présence ici et comment se déroulera votre vie entre ces murs. Tout d'abord, sachez que vous êtes tous ici pour la même raison : vous possédez des pouvoirs hors du commun. Nous les avons souvent découverts dans des circonstances particulières, mais ce sont bien vos pouvoirs, et non ces circonstances, qui vous ont amenés ici. Que vous ayez commis des infractions ou que vous ayez été de sages petits enfants ne nous intéresse pas!"

Il fixa un instant les 'pensionnaires' réunis devant lui, avant de continuer.

"Le personnel, ici, a force de loi, les gardiens comme les scientifiques. Vous leur devez obéissance, sans la moindre discussion. Toute rebellion sera punie de manière appropriée, sans indulgence ; vous n'êtes pas ici pour vous amuser. Les scientifiques vont étudier vos pouvoirs pour déterminer au mieux leurs caractéristiques, voir s'il est possible pour vous de les maîtriser, et, le cas échéant, de vous apprendre à le faire. Ce ne sera pas toujours une partie de plaisir, ni pour vous, ni pour eux, alors n'aggravez pas les choses."

Il se tourna vers les scientifiques et tendit la main pour les désigner.

"Voici les professeurs qui travaillent ici. Tout d'abord, le docteur Bénédicte, tout au bout de l'estrade; ensuite, dans l'ordre, voici le professeur Sada, le docteur Daillo et enfin le professeur Mo. Ils ont chacun leur spécialité et vous travaillerez parfois plus avec l'un d'entre eux qu'avec d'autres, ou pas. Mais ils sont tous très compétents, et si vous avez le moindre problème d'ordre médical ou quoi que ce soit d'inhabituel concernant vos pouvoirs, vous être priés de leur en parler rapidement."

Il scruta ensuite le visage de chaque enfant et adolescent, le regard dur.

"Ceci étant réglé, voilà comment les choses s'organisent ici. Vous avez pu constater que certains sont installés au deuxième étage, dans les dortoirs, tandis que trois d'entre vous sont au troisième. Sachez qu'il y a également un quatrième étage, sous les toits, qui constitue à lui seul un grand studio. Vos places ne sont pas définitives mais dépendent d'une hiérarchie intérieure très simple: celui qui possède le studio est nommé le Yokozuna. C'est en ce moment ce jeune homme, assis au premier rang", fit-il en désignant Cantona, "qui détient ce titre. Les trois d'entre vous qui partagent la chambre du troisième étage sont des Aspirants, et il s'agit de Sabina Williams, Machi Annady, et Mikael Sido. Tous les autres sont des Internes et résident donc dans le dortoir, au deuxième étage. Vous voulez être mieux installés? Il va falloir le mériter. Seuls les Aspirants ont une chance d'accéder au studio, les Internes doivent d'abord passer Aspirants pour ça, et il n'y en a que trois. A vous de vous débrouiller si vous voulez plus de confort."

Il se tourna enfin vers les gardiens, et les présenta à leur tour.

"Les gardiens sont chargés de faire régner l'ordre dans la Tour. Emeraude, Clarisse, Jean, Marius et Steevy, ainsi que Mike, le concierge, sont donc en droit de vous punir s'ils le jugent nécessaires, aussi je vous conseille de vous tenir à carreau, et de ne rien faire pour les énerver. Est-ce que l'un d'entre vous a des questions?"

Il se tut, laissant l'assemblée réfléchir et assimiler ce qu'il venait de dire.

Les synapses semblant refonctionner, l'adolescent craintif parvint à reprendre le contrôle de son anatomie tremblotante et pleurante dans l'effarement ambiant.

Le jeune homme ne cesser de s'interroger. Où se trouvait-il? Qui étaient ces gens? Qui était celui qui l'avait enfoui dans un sac et ballotté comme un malotrus? Et pourquoi l'avait-on enlevé?
Qu'allaient-ils lui faire? Qu'allait il devenir?

Il ne put retenir un:
"Ô Monde injuuuuuste!"
Avant de se couvrir la bouche de ses mains boueuses, étalant encore un peu de cette substance brune sur son visage déjà taché.
Et quand la jeune fille s'avança, Anäel eut soudainement honte, une bouffée rouge émacia son visage alors que le vent se mettait à souffler en brusques accoups, soulevant mèches et jupes, le mettant bien plus mal à l'aise...

Car l'adolescent venait d'être tourner en ridicule devant une FILLE!
Ô Infamie!
Le jeune blond était SI embarrassé, qu'il ne comprît aucune des paroles de celle qui lui faisait face et le vent ne cessait de s'amplifier...


C'est alors qu'une grosse voix retentit, coupant court à toutes pensées et par la même occasion, au souffle grandissant, Anäel se figea, impressionné par la voix du ténor qui répondait à bon nombre de ses silencieuses questions.

Il n'osa tout de même, rien ajouté, habitué toute sa vie à servir les plus nobles, il venait de reconnaître le maître, et donc, d'un instinct tout naturel, se devait de lui obéir, et de lui jurer allégeance.

(Dans son esprit embrouillé, tout venait à se mélanger, l'asservissement prenait parure de chevalerie, comme sa docilité de courage!)

Newgaliban regarda Anaël avec étonnement, il était passé de la frayeur où il était blanc comme un linge et la il devenait rouge, comme s'il avait honte, elle ne comprenait pas trop son comportement.
Elle sentait déjà plusieurs forte bourasque après que le jeune homme se soit exclamé, ce qui lui mit la puce à l'oreille.

"C'est vous qui êtes la cause ce vent ?"

Ce vent ne la dérangea pas car cela enlevait les dernières poussières qui se trouvaient encore sur son pantalon après sa chute, mais il commençait à être fort à force et il continuait à amplifier.

"Vo-..."

Elle fut coupée dans sa phrase quand une voix forte et résonnante se fit entendre, elle comprit qu'il fallait se taire et écouter attentivement.
Quand il eu finit elle resta silencieuse. Une prison... elle avait vraiment l'impression que maintenant elle était dans une prison...

Gabriel regardait avec amusement le spectacle du blond -décidément, il y avait beaucoup de blonds ici- sorti du sac et toute la petite comédie qui suivit. Son moment préféré fut le concierge : "Heu.. pas mal ?". Mort de rire, il était. Ce gars style Frankenstein était des plus admirable.

Mais son amusement ne dura pas : un homme sur l'estrade leur parla.

Ainsi, il avait donc vu juste ! Ils étaient bien ici pour leurs pouvoirs, et ils se retrouvaient bel et bien pieds et poings liés dans cette maudite tour.

Mais malgré toutes les mises en garde, Gabriel continuerait de jouer au rebelle. Après tout, ce serait le seul moyen qu'il aurait de pimenter un peu la vie qu'il mènerait ici. Inutile de dire qu'il ferait les 400 coups ici. Après tout, s'ils n'étaient pas contents, ils ne pourraient pas être violents avec lui, ni quoi que ce soit d'autre dans le genre -du moins, il l'espérait-. Ils seraient forcés de le supporter ou bien.. de le renvoyer chez lui, héhé..

Enfin, il ne souriait plus du tout, là.

[Note aux MJ : bande de sadiques xD]

Ru arriva en courrant comme une dératée, elle n'avait pas entendu l'appel et s'était endormie, et quand elle arriva, elle n'entendit que la fin de ce que disait le président.

*Miiinceuuh j'ai loupé le discours !*

Mais elle s'en remit vite se disant que ça lui avait évité de s'endormir pendant.
Mais ça ne faisait pas très sérieux car elle venait à peine d'arriver qu'elle loupe déjà une chose super importante.
Elle regarda autour d'elle pour voir qui se trouvai dans cet endroit qui ressemblait assez à son orphelinat.

*Espérons qu'ils sont sympa ici.*

Elle observa tout les enfant qu'il y avait:
Un blond affalé sur sa chaise qui sembalit se moquer de quelque chose de façon malsaine, elle ne comprit pas pourquoi.
Un autre qui avait l'air bizarre, plein de boue avec une fille en face de lui qui voulait apparemment l'aider.
Un autre petit blond *Y'en à combien?!* qui mangeait un candy canne, il avait les genoux esquintés et parlait à une fille qui ne semblait pas des plus enjouée.
Elle regarda vite fait les autres personnes et joua à pile ou face (Pour de vrai!) pour savoir avec qui elle allait parler.

"Ca va je suis pas tombée trop mal."

Elle s'approcha du jeune homme blond qui semblait d'un enthousiasme fou sur sa chaise, elle s'assit à coté de lui et le regarda dans les yeux sans rien dire, juste pour voir comment il réagirait.

Après le discours de l'homme, Machi se sentait deja plus eclairée sur sa situation.
"Ok, ca peut pas etre pire que ca..." Songea t-elle.
Elle remarqua l'arrivé de plusieurs autres personnes qu'elle n'avait encore jamais vu.
Encore un blond qui avait etait apporté dans un sac.
"Pas de chance, je suis contente de ne pas avoir eu droit au "trimballage de sac a patate""

Et une fille habillée etrangement. Elle se demanda un instant s'il ne s'agissait pas d'un autre toubib exentrique mais apparemment non vu qu'elle se posa sur une des chaises, a coté du rebelle tentant apparemment d'entrer en comunication avec lui.

Machi soupira, elle fixa un instant tout les gardiens et les medecins. Elle n'avait pas encore eu la joie de tous les rencontrer et se dit qu'elle n'etait pas vraiment pressée.

Finalement, elle leva la main, vu que l'ot gars leur avait donné la permission de poser des questions, autant en profiter.

- Et euh... La on peut partir? Quartiers libres?

Gabriel était bien, assit sur sa chaise, lorsqu'une fille un peu garçon manqué décida de s'asseoir à côté de lui. Bah, où était le mal, après tout ? Nul part, sauf que ben, quand on le regarde dans les yeux sans rien dire, Gab trouve ça légèrement bizarre.

-" Hemm.. Salut ? "

Il ne savait trop que dire à cette fille -habillée assez bizarrement en plus-.

Dans le même temps, une des filles qu'il avait déjà vu avant demanda si ils pouvaient partit. Ben tiens, quelle bonne idée. C'était vrai que ça devenait assez lourd, là.

Il se retourna à nouveau vers l'étrange jeune fille, se demandant ce qu'elle lui voulait.

Mister Mistofolis jeta un regard désapprobateur à la jeune fille qui était arrivée en retard, puis dévisagea froidement la brune qui avait demandé s'ils pouvaient partir.

"Non, Annady, vous ne pouvez pas encore partir. Je vais laisser la parole aux scientifiques qui vont se présenter. Patientez donc encore un peu et tenez-vous tranquille. Et vous, Kresento, tâchez d'être à l'heure aux rassemblements si vous ne voulez pas vous faire mal voir des gardiens et de moi-même."

Il se tut pendant quelques instants pour qu'un silence circonspect s'installe, puis se tourna vers les scientifiques.

"Professeur Bénédicte, voulez-vous commencer, s'il vous plaît?"